Paris Press Conference: UNRWA's Involvement Since Oct 7

UN Watch

Aujourd’hui, UN Watch a organisé une conférence de presse à Paris pour éclairer les défis pressants et envisager l’avenir de l’UNRWA.

Directeur exécutif de UN Watch, l’observatoire critique des Nations Unies, a prit la parole en France pour la première fois depuis le 7 octobre.

Ayelet Samerano, une mère endeuillée, a témoigné sur les méfaits documentés et enregistrés de l’UNRWA à l’égard de son fils, kidnappé par l’un des employés de l’UNRWA.

Caroline Yadan, députée à l’Assemblée Nationale, a apporté sa contribution par son point de vue législatif.

L’événement a aussi présenté les principales conclusions et recommandations formulées par des spécialistes lors d’une conférence à Genève la semaine dernière, remettant en question l’avenir de l’UNRWA.

Au cours des dernières semaines, il a été révélé que :

  • 14 employés de l’UNRWA ont participé au massacre du 7 octobre
  • 450 employés de l’UNRWA à Gaza sont des terroristes avec Hamas et Djihad Islamique
  • 3,000 enseignants de l’UNRWA faisaient partie d’un groupe Telegram qui célébrait le 7 octobre
  • Le Hamas a construit un tunnel terroriste directement sous le siège de l’UNRWA à Gaza, cachant un centre
    de renseignement informatique alimenté par le réseau électrique de l’agence.

 

Directeur exécutif de UN Watch, a partagé son expertise approfondie sur les opérations de l’UNRWA
et a proposé des visions pour un futur sans perpétuation du conflit.


Ancien Conseiller Général de l’UNRWA

“La définition de l’UNRWA est très différente de celle du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés. Le HCR ne considère pas comme un réfugié quelqu’un qui a acquis la citoyenneté dans un autre pays. Dans ce cas, un très grand nombre de réfugiés palestiniens de l’UNRWA ne seraient pas du tout des réfugiés. En Jordanie, environ 90 % des personnes que l’UNRWA considère comme des réfugiés palestiniens sont des citoyens jordaniens et ne seraient pas des réfugiés au sens du HCR ou de la convention des Nations Unies sur les réfugiés.”


Mère de Jonathan Samerano, partagera un témoignage poignant sur son fils, tragiquement tué le 7 octobre, avant d’être kidnappé par un employé de l’UNRWA.


La France: l’UNRWA et complicité pour des crimes contre l’humanité


Députée à l’Assemblée Nationale

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